Amado perd son bras à cause de la fermeture automatique du carage dans lequel il est occupé à maquiller le meurtre qu'il vient de commetre en suicide. Ce bras, bronzé, velu, épais, tout en muscles et complètement tatoué, va devenir un objet de lutte et un enjeu de pouvoir entre le mafioso Esteba, l'inspecteur Don, la prostituée qui a posé pour un des tatouages, et quelques autres... Premier roman.